La compagniePersonne

Léa Trommenschlager

soprano

Léa Trommenschlager obtient ses diplômes au Conservatoire de Strasbourg auprès d’Henrik Siffert et Françoise Kubler ainsi qu’à la Musikhochschule Hanns Eisler de Berlin avec Norma Sharp. Elle reçoit également les conseils de Claudia Solal, J.Chuilon, D. Fischer-Dieskau, C. Schäfer, D.Upshaw et I. Bostridge.
En 2011, elle est lauréate de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence.
À l’opéra, on a pu l’entendre dans l’opéra d’Arthur Lavandier De la Terreur des hommes créé à Paris avec Le Balcon, ainsi qu’en Cleopatra de Giulio Cesare de Haëndel à Berlin. En 2012, Léa poursuit la tournée du spectacle « Cher Erik Satie », mis en scène par Jean Bellorini. En 2013, elle chante dans Wie man findet, was man nicht sucht de Leah Muir à la Tischlerei du Deutsche Oper de Berlin -mes M. Höppner- ainsi que le rôle-titre dans Ariane à Naxos de Strauss au Théâtre de l’Athénée à Paris –mes B. Lazar-, avec Le Balcon, direction Maxime Pascal, puis chante Fiordiligi dans Cosi fan Tutte -mes Margita Zalite, à la Tischlerei du Deutsche Oper Berlin.
En 2013, elle intègre la production « Doppelgänger » -mes D. Marton- créée au Schauspiel Stuttgart. À l’été 2014, Léa est invitée à se produire en récital aux festivals d’Aldeburgh, au Samuel Beckett – Happy Days Festival avec le pianiste Julius Drake et au Festival d’Aix-en-Provence où elle chante notamment les Vier Letzte Lieder de Strauss sous la direction d’Alain Altinoglu.

Dans les répertoires de la mélodie et du Lied, elle a le plaisir de travailler avec les pianistes Alphonse Cemin, Alexander Fleischer, Elizabete Šīrante et Jonathan Ware. Au printemps 2015 paraît son premier enregistrement avec le label B Records du cycle Myrthen de Schumann, avec la complicité du baryton-basse Damien Pass et du pianiste Alphonse Cemin.

Récemment, on a pu entendre la soprano à l’Opéra de Lille, au Théâtre de l’Athénée à Paris, à la Konzerthaus de Berlin, à La Folle Journée de Nantes, au Théâtre du Châtelet, au Théâtre des Salins à Martigues, au Schauspiel de Stuttgart, à La Criée à Marseille ainsi qu’au Tchekhov Festival de Moscou.
Après une tournée en Allemagne ce printemps, où elle interprétait la IVe symphonie de Mahler sous la baguette de J. Klumpp, Léa Trommenschlager enregistre l’opéra radiophonique Opus Magnus du compositeur Manuel Durão avec l’ensemble Podium.
Cette saison, après ses débuts à l’Opéra de Lille pour la création de l’opéra Le Premier meurtre d’Arthur Lavandier, on retrouvera la soprano à Salzbourg pour « Jakob Lenz », opéra de Wolfgang Rihm, puis dans une création avec le guitariste-compositeur Marc Ducret, mais également en récital avec Alphonse Cemin au Théâtre Impérial de Compiègne. Léa chantera sous la baguette de Vincent Dumestre avec le Poème Harmonique dans l’opéra Il Terremoto de Draghi à Cracovie ainsi que dans l’opéra-chorégraphique Initio de Tatiana Julien et Pedro Garcia-Velasquez au Théâtre national de Chaillot.

Acte I – répétition
Léa Trommenschlager (soprano), Suzanne Meyer (danse)
Acte I : Kindheit
La MÈRE (Léa Trommenschlager)

Lieux Perdus • Pedro Garcia Velasquez, Benjamin Lazar

Initio • Pedro Garcia Velasquez, Tatiana Julien

Donnerstag aus Licht • Léa Trommenschlager et Damien Bigourdan (répétition).